1038 - PLANS HORIZONTAUX

LES PLANS HORIZONTAUX 

rappel : 

Les plans verticaux sur trames rectangulaires de rayonnements de masses de métaux chauffés dans le magma sont LA théorie de la géobiologie moderne. 

Il existe )des plans énergétiques "horizontaux" formant ainsi des parallélepipèdes vides imbriqués.

Bonjour la complexité de représentation de ces organisations énergétiques ! 
Vous suivez ? on continue :

Les plans verticaux sont d’épaisseur variable selon leur métal émetteur, ou divers facteurs comme l’activité sismique, et réponderaient en lecture du pendule :
》 à une polarité + pour les ascentionnels vers l’espace (flux telluro-cosmique),
》 et à une polarité - dans leurs croisements (flux cosmo-tellurique) 
     de retour vers la terre (dits pathogène car entrainant les énergies 
     à leur périphérie). Il suffit souvent de ne pas y stationner 
     (canapé, lit, bureau) et le tour est joué direz vous. 

ET : 

Certains éminents géobiologues ressentent quant à eux également des 
"PLANS HORIZONTAUX" de polarité + et - au dessus du sol, qui sont espacés de dimensions variables.
Personnellement je ressent ces plans+ d’épaisseur d’environ 1cm 
espacés d’environ 1,50m à 2,00m,
et les plans + seraient "collés" sur des plans- de plus faible épaisseur 
(3 mm) 
Le sol de la terre est recouvert d’un plan-. 
C’est la séparation du tellurique et du cosmique. 
Les autres parties d’espace entre ces plans sont de polarité nulle. 
Ouf. 

Je mesure (sur site, ou sur représentation du lieu : carte photo plan) 
car je suis un géobiologue RADIESTHOLOGUE :
avec l’avant-bras gauche tendu à l’horizontale = polarité nulle, 
la main montante      = polarité+
la main descendante = polarité-
les variations sont franches, et changent directement selon l’index droit indiquant où est prise la mesure. 
Je mesure mentalement les épaisseurs.

Le docteur Hartmann aurait conseillé d’avoir les "plans horizontaux"
(cités par le docteur Pech et de nombreux géobiologues,
d’après l’archi Dillenseger)
dans les planchers plutôt qu’à n’importe quelle hauteur. 
》s’il l’a dit c’est une info très sérieuse.

Ce plan- existant suit les différences altimétriques du sol, et : 

》comme quasi tous les plans ou réseaux d’énergie, ceux ci peuvent heureusement être déplacés pour s’adapter au mieux aux :
• existants, 
dans le cas d’un lieu déjà bâti, auquel cas les plans + pourront être amenés par le géobiologue dans le ou les planchers, comme le prescrivait le docteur Hartmann. 
• projet de l’architecte, 
où celui ci n’aura qu’à indiquer à posteriori de son oeuvre le niveau des planchers finis réalisés, et ainsi permettre au géobiologue de déplacer in-situ les dits plans + et -. C’est bien plus simple que de rester à un niveau fixé à l’avance. 

En pratique , le plan superficiel- du sol pourra être descendu d’environ 1 m
dessous le niveau de plancher bas, pour laisser place à un éventuel écran de protection à tous rayonnements telluriques, écran dit "de sourcier", que je préconise à foison tellement il est efficace. 

》Les fourmis, termites, et autres limaces préfèrant les champs- seront ainsi éloignés de votre habitat et jardin ? On peut rêver ... tests en cours. 

Ce travail de manipulation des plans d’énergie est toutefois délicat et ne s’adresse qu’à des géobiologues confirmés, en capacité de ressentir et mesurer modifier vérifier leurs positions.

Les applications de ces déplacements de champs horizontaux permettent d’obtenir des gains apréciables en mesures de Taux Vibratoires moyens des locaux.
Néanmoins cela ne protège pas des pollutions créées par l’homme tel les rayonnements d’électricité domestique ou de transport, 
et aux expositions directes des rayonnements (théoriquement sans danger d’après leurs installateurs) de micro-ondes wifi. 
Vos actions de géobiologues demeurent toujours nécessaires. 



Pour aider à y comprendre je vous ai fait une illustration :

pour illustrer la composition des "ecrans" : 

une application pour le moins inattendue , et qui fonctionne très bien ! : 

Voici en illustrations simples l’état de mes investigations dans ce domaine  :

juin 2015

1-  l’inventaire représente ce que j’ai ressenti dans mes analyses sur le terrain. 

     les nappes horizontales en phase + et -

     la nappe - sur le sol du terrain naturel ( et qui y reste même après terrassement en déblai ou remblai),

     la nappe parallèle au sol d'origine à environ 80 cm de distance.

2- la façon que j’effectue, à distance et en mimant, de séparer les plans aériens + et -, 

     projeter les plans - en sous-sol, à environ 2 m sous terre, 

     amener les plans + dans les planchers et plafonds , comme le préconisait Herr Hartmann. 

      Je mime donc à agrandir les plans comme vus à la loupe,
      glisser une main entre le - et le + ,
      pousser les - en sous sol (2m environ), 
      amener les plans + dans les planchers et plafonds,
      ... comme si je m'amusais avec une console de jeux ! 

     Je crée une zone de 2m de large autour des maisons en +,  

     car les fourmis n’aimeraient pas les sols - ... 

     En tous cas, ces déplacements de plans provoquent une montée significative
     du Taux Vibratoire des lieux où je les ai appliqué. 

(sous sol non habité) 

3 - Dans le cas de terrassements en déblai,
       la partie qui était sous terre laisse une impression assez désagréable
             ... "d’y être enterré " ! 

         Un ami ayant sa maison dans cette configuration,
       y avait des maux de tête et y déprimait à vue d’oeil. 

J’ai donc déplacé les plans de cette façon afin de reconstituer un lieu sain, comme hors sol.

Essayez ces applications oubliées de nos jours, et communiquez sur les résultats. 

à suivre ...

PLANS HORIZONTAUX à flux contrariés

 Attendant patiemment l'arrivée mon train de banlieue à Auckland, 

je remarque ces toits de pentes convexes formant comme un creux. 

Je me souviens que cette disposition des pans de toiture est montrée comme "perturbante" en feng-shui.

Je m'amuse à prendre en mesure les polarités des plans horizontaux, une fois deux trois fois et le même résultat se confirme avec la grande halle en rez. 

Je fais deux photos, les illustre tant bien se peut dans le wagon tout neuf du train maintenant électrifié, et vous en voyez le résultat. 

Je n'ai pas ressenti le chi (les flèches descendantes) dits en cours de Feng Shui pour illustrer les formes de toits. 

Les strates -et + ondulantes sont elles bien ressenties. 

Sous des pans convexes, la polarité - des plans du sol est comme attirée vers le haut. 

Y vivre est malsain, très malsain, on y aura comme un sentiment d'oppression , d'être ... enterré. 

Les très nombreux Chinois habitant sur l'ouest de Auckland doivent être surpris d'une telle maladresse architecturale .

Preuve en est que les gens attendant leur train n'aiment pas le faire !  lol.

brrr

Une forme de toit à recommander pour les "à feux" ces murs de cimetière où on est "enterré en l'air" ...