2008 - VOYAGE # 8 (vie maorie)

Voyage # 8  

Balade en culture maorie XVIII ème siècle.
17 / nov / 2013 ––> 1768 
porte basse de Mac Arthur Park NZ

Aval du sage Lomoqy , TV passé à 5 milliards uB dans la porte du jardin.
13 h 20 
Une enveloppe semi matérielle "Clonobot" est estimée trop risquée pour ce voyage. Dommage je commençais à l'aimer cette carcasse d'énergie (lire Voyage 6) 
J'y vais, mon clône psychique sort de mon buste et file par la mémoire.

Je pourrai voir des "choses" qu'il me sera aisé de retrouver dans mon séjour sur place en janvier 2014.

Lomoqy révise sa position, comme je sais rester en phase de transparence et que j'aurai éventuellement besoin d'un minimum de préhension d'objets, il m'est confié le clonobot essayé dans le "Voyage 7" !  
sympa, merci Lomoqy !

LE DÉPART :

13 h 25  
mon clône psychique revient en 2013 ! 

13 h 30   
mon clône psy intègre le clonobot et re-passe dans la mémoire ! 

Le clonobot est une enveloppe d'énergies multiples à mémoire de forme et à déplacement autonome. 

Tout ce séjour s'étant passé au 18ème siècle, les faits sont enregistrées dans les mémoires du lieu depuis cette époque. 
Lomoqy ayant la capacité de lire dans les mémoires, bien mieux que moi, connait l'histoire même avant que je l'écrive, me rassure en me confiant que tout se passera bien, ouf.

Représentation du passage d'un temps à un autre ...

L'ARRIVÉE :

Il fait très beau, le bush est dense, en fait une forêt de kaori et de rimu géants, des fougères arborescentes, tapissant tout. 
Y est emmagasinée la fraîcheur et les moustiques, ah ah ils n'approchent pas les terreurs , pas de sang dans un clonobot ! 
Le ruisseau est là entouré de petites taraudières empaillées propres. 
S'il y a plantation il y a habitants.

J'avais eu le ressenti d'un couple ayant vécu au dessus de ce mini vallon.
Des jeunes, pionniers dans cette forêt. Ils pensaient positivement récitant des chants de gestion des plantations très imagées, un vrai almanach de Mamie Vermot maorie . 

Je suis en phase d'enveloppe translucide, je vais vers le nord, je suis le chemin devant moi.
J'ai une mixité de vue, énergies et vue normale.
Les végétaux semblent comme légèrement phosphorescents, l'eau en mouvement aussi. 
Les animaux sont plus lumineux, donc les poissons et anguilles aussi, ils n'auraient aucune chance si j'avais un harpon ! 

Tiens le salut des petits oiseaux qui virevoltent autour de moi ! Ils me ressentent donc ! 

Un mini hameau de trois maisons toits végétaux, cloisons basses de branches et panneaux de bois, pauvres, pas de décos peintes comme dans les musées ... ni la clim sans odeur épouvantable de ... cochons,  parqués en enceintes de branches mais avec une sangle  à la patte arrière.

Ça roupille, la sieste ! 
les coqs cocoricotent, les chiens dorment à l'ombre museau dans la terre.
Non désolé je ne vais pas faire un cours d'archi, voyez votre archéologue maori préféré ! 

La tâche pour se nourrir n'est pas très harrassante, ni pour se vêtir en cette saison automnale bien douillette .
Des étoffes d'écorce frappée, du tapa, solide comme du non-tissé à reserver pour les cérémonies, un peu comme Bécassine et son parapluie bien protégé de la pluie ! 
... mieux vaut ètre à l'aise et avoir un bronzage uniforme ! 

Pas d'atelier de sculpteur d'attendu, ce sont des paysans, des cochons et du taro, le reste en troc 

Ils ont du temps pour les arts, danse chant costumes végétaux tatouages ... et des mémoires orales à entretenir, l'histoire n'était portée que sur des chants ou lytanies quasi sans fin.

Là c'est la sieste ...

Je n'ai pas d'odeur, pas de température, pas d'énergie d'apparence car non visible ... 
sauf pour les oiseaux intrépides semblant chercher le contact ?
Pas de besoin de manger, mais du repos pour laisser reposer la multicité de CCT composant mon clonobot ...

Elles doivent être des parentes proches, 3 soeurs ou cousines, je ne sais, 

quelle ressemblance dans l'allure, des jeunes bien moins de la trentaine.

Leurs hommes paraissent plus agés, des pas très costauds mais que de beaux tatouages corporels dont sur le visage, lart du moko.
Des anciens guerriers surement.
Leurs femmes aussi sont tatouées bouche et menton et sur les fesses.
Une demi douzaine d'enfants, des bambins pas ados.
                   
Je ne vais pas rester là éternellement, mais j'ai besoin d'être guidé vers le hameau ou chefferie ?  proche. Ils doivent bien aller "à la ville " de temps en temps ? 

Le soleil baisse, je réduit l'enveloppe au strict minima, oui je peux sortir aisément du clonobot !  je le (me) laisse sur une fourche de branche, ma "racine" trainant en terre s'enroule toute seule ...
zou je monte en chandelle dessus la canopé, que c'est beau d'en haut les kaoris ! 
un océan de vagues de verdure , des fumerolles au loin de gauche à droite. 

Un tumulus déboisé avec des tours rondes de gué, surement ce qu'appelé ici un falé, le chateau fortifié local où il vaut mieux courir vite au signal d'annonce d'approche de quelque groupe hostile, voir ennemi ...
Cela ne doit pas ètre fréquent vu l'éparpillement des habitats.
Ils ne semblent pas vivre dans la crainte, on est loin de la côte, et le pays n'est guère peuplé. 
Cela fait guère que 400 ans  que l'homme est arrivé ici (voir Wikipedia)

Les gens ont dîné, viande et taro en purée du uru (fruit de l'arbre à pain), un peu de gouda local, une bière bien fraîche, un esquimeau devant les actus à la télé et au lit ... ? 

Moi aussi.

Pourquoi 1768 ?
- Le voyage 4 se passait chez le "moi" de 1760.
- Cook le navigateur géographe commenca son périple dans la région en 1768.
- (Abel Tasman un néerlandais découvre la côte en 1642 ... les maoris sont des migrants de RAIATEA en Polynésie partis il y a un millénaire maxi.
- 1768 est une date où un européen aurait pu passer à AOTEAROA.

LE LENDEMAIN MATIN : 

Le jour arrive, je chausse mon mini moi, prend ma taille standard (je peux l'agrandir).  Je ne peux laisser l'enveloppe en miniature, car il m'est impossible de la porter car n'étant que psychisme ... et la télécommander comme toute CCT ordinaire est vite lassant . 
Je reste en non visible, me sustente dessus le sol, refait le sketch du Seegway ! (voir voyage 6) 

Ah quand même , un couple avec des paquets accrochés dans le dos et 2 cochons en laisse se décident enfin à quitter ce hameau.
Que faire d'autre que de les suivre.
A leur vitesse on a le temps de voir le paysage. 
Il y a plein d'oiseaux, ça jacasse de partout dans les arbres et fourrés.
Soudain un silence général, les paquets sont posés à terre, les frondes sorties, flêches à catapulte (de mon enfance aussi !) ils se mettent en position ... je monte de quelques mètres ... on ne sait jamais ...

Han , soudain un ??? sort d'un fourré et y retourne de suite, Madame aurait géné son fier homme de chasseur qui lui sort tout le vocabulaire d'oiseaux du dictionnaire !

J'éclate de rire, 
l'andouille que je suis, 
ils me cherchent du regard, tout apeurés qu'ils sont ! 
La gaffe à ne pas faire, ils rechargent haletants leurs charges et filent en courant droit devant eux, le guerrier filant en tête ne manquant pas de courage ! 
Nous voici près du fortin vu hier soir.
C'est le centre administratif et commercial communal ... 
Les commentaires de madame doivent ne pas ètre très gentils, tout le monde rigole sur le fier chasseur rapide comme l'éclair ! 

Oh un gars brille (!) plus que les autres, un chaman, un tahu'a comme on dirait à Tahiti, au Taux Vibratoire très élevé provoque une lueur bien plus forte que celle des autres gens.
il est appelé tohunga ("sorcier") c'est l'homme des sciences ...
Peu tatoué, nu comme les autres gens en cet automne chaud, il n'a qu'une coiffe de plumes et de cheveux tressés.
Son regard fouille dans ma direction, je me fais tout petit petit, je ne tiens vraiment pas à me faire remarquer ... pour le moment.

Je reste à l'écart, pas trop petit non plus car tous ces oiseaux dont des gros ne me donnent pas confiance, pas prés du sol de crainte des chiens cochons ou enfants au 6ème sens déveleoppé, adossé contre des troncs d'arbre c'est très bien, je n'y ai vu quasi aucune entité de décédé d'hébergée.
Je suis le tarzan Kiwi froooooggggy ! 
Pour le look je presse un instant la mise en couverture d'apparence , bien bronzé acajou "d'aoutien-activité-nautique-en-village-nat" exposé au soleil couchant  je brille d'or solaire ! 
Gag.
Un que ça ne fait pas rire, c'est Tohunga qui observait la canopé de la forêt depuis un gué sur le coteau. 
En méditation la moindre feuille qui tombe est vue par son 6ème sens, sens des énergies.
Non il ne ri pas du tout quand il eu cette vision fugitive d'Apollon doré sortant d'une entité en phase de quiétude pour quelques années , et disparaissant quasi de suite.
Il n'avait ni bu ni fumé, et était en jeune du mois.

Il savait qu'il y avait quelque chose qui se tramait. 
Puisse cela ne pas ètre un fléau, 
Les maoris n'ont trouvé ce hâvre de vie il y a 3 siècles , ils y ont bâtie leur identité polynésienne, 
frères de Raiatea leur île d'adieu.
Leur pays est connu évalué surement, par les autres, le reste de l'humanité, ne rêvant que d'expansion de puiser ailleurs des richesses ...
Ils savaient que le reste de la planète est habité de climats gens arts géographie langues cultures croyances sciences, différentes des leurs ...

Ils savent que leur monde est bientôt terminé, 
Pauvres d'eux . 
Victimes de cette expansion démographique colonialiste ...

Avec le bruit de cailloux entrechoqués j'ai trouvé un artisant tailleur de pierres. Oh c'est du bien utilitaire, des lames de haches, des pillons, des récéptacles avec rigole d'écoulement, du bien pratique sur d'être troqué, les pierres issues d'une veine de ruisseau dans le vallon voisin.
Deux jeunes l'assistent, c'est vraiment un beau métier.
De la roche volcanique mais pas seulement, je vois des morceaux de diorite, le jade néphrite, LA pierre précieuse du pays ! , 
réservée à de grands bijoux de chefs, montrant (un peu) la "richesse du clan" à ses cousins.
Un des jeunes en poli une, doucement, ça vaut cher et amené de loin là bas des montagnes du sud. il mouille bien la pierre et la frotte sur une grande à polir d'un geste régulier.

                                

Revoilà le tahu'a tohunga qui rôde au pied de l'arbre où je suis,  il doit "voir" mon énergie, c'est pas possible ! 
Je mime de plonger et fais un crochet à gauche, pour m'enfoncer dans la forêt, à toute vitesse. 
Pauvre homme ce n'est pas prévu dans son grimoire de radiesthésiste maori que d'avoir un "blanc bronzé doré volant"! 

Je me complais dans l'admiration des plantes insectes et énergies.
La lecture des énérgies de forêt, de nuit, est une chose merveilleuse.

        J'ai réussi à trouver le courage de le faire une nuit noire noire sans lune ! il y a 2 ans.

        Ce fut une expérience mémorable, guidé que par son ressenti des énergies des grands végétaux ...

Une grande méditation par le vide, un plein d'énergie à 3 milliards uB, tous les sens (dont le 6ème) en éveil et concentration optimale, pieds nus pour la préhension du sol, en avant ! 
Je n'ai fait qu'une chute en fougères, et fini guidé par une infime opalescence d'énergie trace de passage de gens dans la journée  (2012).
Une expérience que j'ai hâte de refaire.

LE SURLENDEMAIN :

Eh bien que faire ? 
Je suis incapable de retrouver la porte de passage, la forêt couvre tout et je ne suis guère doué sur une photo satellite si elle n'est pas sur mon écran tactile !
Comment se drigeaient donc les gens de l'antiquité, ils n'avaient pas de panneaux indicateurs ? Avaient ils des guides qui se relayaient, comme des chevaux des postes, et devoir se souvenir de tout ça sur des cartes croquis approximatives à l'excès.
Un guide va donc de son lieu de vie au hameau voisin, et rentrea seul chez lui.
Pas de risque de se faire brigander pour les clients, sinon l'autorité du seigneur local intervient, c'est son devoir.
Donc il me faut rentrer avec le fier chasseur (Mac Arthur ?) et sa dame (Park Mac?)

Mon aventure maorie de popa'a s'arrêtera donc au petit hameau de Mac Arthur Park.
Sauf, 
sauf si je suis maori ... merci le clobonot, j'observe un gars de mon âge et j'en copie le visage, ça marche ! 
Je suis tanné de peau visage sympa, banal. 
Je ne parle pas beaucoup ( ça m'évitera de dire des bêtises !) et suis un papy ... tailleur de pierres d'outillage, de passage. 

Je leur demande et ils me proposent de les accompagner dans leur groupe, un tailleur de pierre fait des outils pour l'agriculture, et c'est leur métier.
Le fabricant d'outils m'en prête de vieux, si je peux je lui en prendrai des neufs, chers, plus tard. Sympa ce Mr bon commerçant.

Le systéme économique est un système de clans, avec mise en commun des ressources et production.
Je ne sais quelle est et comment est leur système de troc, comment géraient ils ça ? 

On a pas vu tohunga, dommage, j'aurais bien dicuté avec lui, j'éspère ne pas l'avoir trop perturbé.

ON THE ROAD AGAIN  :

J'ai pris de leurs paniers de troc, je reste en arrière, me met un peu en sustentation, je suis chargé comme un beaudet ! ! 
... et je suis touriste ! 

C'est beau, en forêt j'y lis les énergies du sol en plus de la faune et flore .
Les mémoires des lieux papotent à mon sujet, ne connaissent pas mon type de rayonnement, je suis un groupe de Cheminées d'énergie, des  CCT guidées par un humain.

Je suis un voyageur de très très loin , ils me voient comme une pieuvre qui couvre une forêt de tubes fins mobiles, de l'énergie plus proche de la leur que toutes les biologies environnantes.
Basées en fonctionnement à enregistrer les "émotions". elles se régalent à consulter mes neurones, on est vraiment pas préparés à bloquer ces intrusions . 
J'augmente la puissance du "volume et miroir" pare-négatif sur le 7ème chakra, ça ralenti mais elles arrivent à tout pénétrer, elles ne sont pas négatives donc laissées libres d'accès ! 

Et aussi si elles ne m'avaient pas vu, elles n'auraient pas enregistré tout ceci ... 

                            
Il y a vraiment une sacrée faune je m'en souviendrai pour mes ballades nocturnes du 3ème millénaire !

                                

monter contourner un obstacle, un rimu chuté, un danger, enjamber des racines, recommencer et avec des charges c'est pas évident.
Il fait trop chaud, on va se baigner dans un trou d'eau, moi qui n'ai jamais encore essayé de noyer mon clonobot j'éspère que cela ne sera pas aujourd'hui.
Je passe en majorité de flux (–) pour densifier avant que de flotter ! 
Mes amis s'amusent derrière quelque bouquet de plantes , je les laisse tranquille , c'est leur vie privée,
je ressort du bain, monte dessus les arbres pour me sécher au soleil brûlant.

On mange une viande fumée, quelques morceaux de uru, 
une petite sieste, et en avant ! 

                                    

                                    

La marche reprend  toute en spectacle sylvestre de là bas, des énergies et mémoires saluées, d'histoires d'animaux ayant vécu là. 
Ce gigantisme des arbres me plait bien, pas les formes droites verticales, mais les bas ouverts dés presque le sol, créent des mouvements de masse, ils sont tels des éléphants figés dans une course à travers bois , j'adore !

Le soleil se couvre, il fait sombre, il fait frais, la terre glisse, je crains d'abimer ma carcasse prototype, tiens mais Lomoqy ne l'a pas précisé que c'est un proto, il y en aurait d'autres en circulation ? 

On arrive au mini hameau, je vais sous la halle centrale, 
une demi douzaine d'habitants forment comme un jury, 
Je suis présenté un peu ambitieusement mais précise que je ne suis que de passage pour une durée indeterminée, je salue remercie et leur montre mon outillage ayant déjà bien servi, bon signe malgré mes tatouages peu importants et de styles étrangers, je suis un voyageur du Pacifique ... je suis accepté à condition de ne pas "toucher" aux gens du groupe ! lol ! 

                              

On me débarasse un mini abri, ce sera mon atelier chambre living. Non, pas dans le luxueux "marae" en photo ci dessus !
J'ai repéré quelques roches dans les berges du ruisseau en amont.
J'ai des modèles des outils utilisés et donc demandés. 
Je vais m'organiser à faire des séries de10 outils identiques à la fois ,
ça fait pro. 

LA SEMAINE SUIVANTE : 

Ayant trouvé des laves dures en faisceaux du à une cristallisation rapide à quand même une sacrée distance, je suis à même de faire des ébauches propres prêtes à passer au polissage ... pas par moi, je suis ébaucheur moi mazette ! 
Des petites pierres me sont aisées à coltiner.

                               

Je me suis essayé à taper de mes petits ti'i souriants, mais cela semble trop avangardiste aux gens du hameau.

pas facile cette perceuse ... mais technologiquement parfaite !

"D'où viens tu ?" 
derrière moi j'entend cela d'une voix calme posée, grave. 
"de chez moi là bas loin" 
Pas beaucoup d'humour Tohunga, on se salue , il voit ma sincérité et il comprend que je ne suis pas dangereux, pas animé de fond négatif, il lit trés bien en moi, comme les mémoires de lieu ! 
Il palpe mon bras avec des yeux d'admiration.
C'est un peu comme si on était face à un ET de passage incognito ! 

Il me demanda de le suivre, et nous sortons du hameau, marchons un peu et allons sur une clairière avec un grand vortex, un méga vortex avec bien la moitié des pales manquantes, il ne tourne pas très bien.
... Henderson !  ... nous sommes à Henderson !
Tahu'a voit toute l'installation, telle une Apuoni (lire mon blog), un medium, un claire-voyant. 
Fier de me le montrer "notre" vortex , il est déçu que je ne sois pas de ses bâtisseurs.
Il se doute bien que cela n'est pas oeuvre de dieux que de cette centrale énergétique de technologie sophistiquée que d'énergies la constituant.
Il a déjà ressenti des "choses" y butinant loin en haut il y a longtemps de cela .

               je viens de faire un exercice d'histoire sur le site, reporté en     
              1760, je suis alors dans l'époque, je dessine ce que je ressent.
               les informations viennent doucement, dites par les mémoires.

               Voici ce que ça donne :

              

Un petit vortex "OR" au sud du grand, des marae (façon de Polynésie) qui sont bâtis à la base de "petits" vortex qui me seront à étudier à mon retour en 2013 !

Je n'ose lui dire que je viens d'autre époque, cela le perturberait trop.
On s'échange des façons d'enlever la douleur, de mesurer au pendule à lui qui n'a pas fait de calcul à l'école ...
il a bâti un site façon marae rectangulaire, simple, à sa base. Je ne l'ai pas vu en géobiologie, je reformulerai ma convention de recherche ! 

Cela lui démangeait de me demander si je pouvais l'aider ... à chercher des gisements de jade, pounamu. Il n'y a que les grands tohunga qui puissent communiquer avec leur "gardien" , est ce que je fais ce travail de minier "chez moi" ? 
Il est encore une fois décu de mes piètres qualités de tohunga maori, 
non je ne suis pas minier en pierres précieuses ! 

On repasse au hameau, il me fait déménager dans le fortin (mon 2ème lieu maori) ;
je balise le chemin vers ma "porte" de CCT – avec message signalétique "porte en N S O E ..."
Je suis présenté comme son élève en formation,
je suis re-prénommé ... Merlin , carrément .

C'est moins fatiguant la radiesthésie que de taper des cailloux ! 
Je lui ai appris la lecture des chakras pour avoir des diagnostics,
Il excelle dans la pharmacopée à base de fougères.

Les polarités l'intéressent bigrement.                        

                              

Il s'y connait en prévision sismique, tout dans la mesure des bandes Hartmann.
J'ai appris aux pêcheurs de grenouille et d'anguilles à faire de l'eau sublimée dans les cours d'eau pour faire tomber les fines en accéléré et avoir de l'eau bien claire, tonique en énergie, et avec moins de bactéries ... qui sert à doper les plantes aussi. (comment ça lecteur tu n'en fais pas ? ) Certains l'appelent "pluie d'orage" son énergie de maintien à TV élevé est produite par le frottement de l'eau 
   a                           
Je ne leur en apprend pas plus, ils en savent déjà beaucoup, bien assez.
Pas d'effet Papillon à risquer, que mon passage ne boulverse pas le futur ! 
La radiesthésie était utilisée dans l'antiquité, Celtes Egyptiens Byzantins Incas Polynésiens Indonésiens Chinois Japonais Slaves Caucasiens Arabes Africains Européens Polynésiens, d'autres, et bien sur mes fameux Tokhariens !

UNE QUINZAINE PLUS TARD :

Ce serait bien mieux avec un ipade ...
J'ai tapé du tiki animal poisson pieuvre tortue ... mais guère utile pour des paysans de l'intérieur ! 

Fais mon boulot de géobio de proximité : conseil en implantation de maison,  de jardin potager, de parcs à cochons ! 
Riez, comme si vous saviez implanter un parc à cochons ... il y a plein de paramètres qui interviennent, failles veines d'eau croisement de réseaux...
Ah, les gens de la ville, sont rigolos quand ils donnent des conseils aux gens d'autour les villes.
                     
En deux semaines il y a eu deux fêtes, et leur kava y est costaud ! 
(une boisson stupéfiante pas que pour la loi)
Je me dois de n'ètre que de passage, demain je m'en vais.
Je suis allé saluer Tohunga à qui j'ai fait une courte demo de transparence / opaque si bluffant. C'est un homme bon.

L'autocar quitte le fortin aprés un bon breakfast kiwi ...
...un pied devant l'autre, et d'recommencer, dans la troupe ...

J'ai en tête le diorama du Musée de Auckland et souvenir des fortins sur des collines en forme de piton de terre rond. 
Mon guide va du fortin 1 au 2, j'y ferai escale , je lui dois le resto et hotel car il repartira au petit matin avec si il a de la chance un transfert retour de 2 à 1. Qui bien entendu ne se sont pas manifesté de crainte de devoir participer aux frais d'hébergement de leur futur guide ...
                           

On marche tranquille, c'est pas loin, le gamin plaisante.
au sol des tapis de fougères, du sable, des branches, de quoi pouvoir marcher pieds nus sans trop de souci, ah c'est sur que les pieds ont de la peau épaisse !
Des poses toutes les demi heures, oh je suis papy ! le guide connait les trous d'eau pour se baigner, quelques arbres fruitiers, self-service.

                                        

Moi j'ai toujours à expliquer aux mémoires ce que je suis, un homme porté par des CCT bien dressées, beuuh ! 
Le prochain clonobot qui passe par ici sera de suite reconnu ...

Non , je ne parle pas (de suite) des Tokhariens et autres peuples savants d'il y a des millénaires, na,
et je vous demanderais de lire ceci , merci :

                  http://destinationterre2.wordpress.com/page/7/

                                           ah, comme dans les forêts de mape tahitiennes !

Il la connait bien sa forêt, mon guide, il reconnait tous les oiseaux et autres rongeurs.Ça me rappelle gamin les balades en forêt vers où le garde-forestier de Bâââyoooonne nous avait indiqué les biches et sangliers ...

Aussi émouvant que ce souvenir, j'en ai le vécu ici dans cette pénombre tropicale avec une pluie crachin chaude ... et gadoue glissante ! Sous prétexte de magie je m'évite bien de sacrées gamelles !  ... il reste toujours devant le guide.
Ouf j'ai cru qu'il s'était perdu le petit, pas tout près ce n*2 ! 

"Chance à lui" il a trois guerriers à ramener demain !

                                éh man, pas de pia ce soir c'est toi qui conduit demain !

Je vais rester on est pas loin du futur Auckland de son stade international, la petite colline en sud.
Le tohunga sorcier de service est très jeune, trop ? 
peu ont confiance en lui et mon arrêt est apprécié, 
le gamin apprendra ! 
Je pourrai laisser un peu la sculpture de coté ça ferait doublon, et j'en ai plein les bras.
On me montre le trésor "taonga" du clan: des morceaux de jade achetés au lac WAKATIPU (au sud, loin) et les outils laissés par feu le sculpteur du groupe ... bien tentant de m'y essayer !
Je vais méditer, faire le vide. 

LE 12 AU MATIN :

Cours de méditation à "Fortimaoriland"
(mon 3ème hameau maori)
c'est nouveau, ce que je m'amuse bien ! Vu que c'était tranquille comme activité, les gars y sont devenus très intéressés ! Ah la tête qu'ont fait leurs nanas ! 
Exceptionnellement les chants de travaux et des particuliers sont suspendu, chut ! téléphones débranchés ! 
Ça ne dure pas longtemps,1/2 h mais chaque jour ! 
Je fais de longues ballades dans le bush, y communiquer avec les grandes fougères Black-Ferns, écouter leurs soucis de parasites ou de champignons comme de la concurrence de jeunes kaoris sortant de leur flegme de végétal géant multi séculier. (!).
je me met en phase transparence pour me placer sur la canopée,
après un bain au ruisseau, que de bains au quotidien ! 

                          quelles cabanes rustiques, c'est que l'hiver est rude ! 

Je loge chez un commerçant en outils.
Il a trois filles, elles recoivent des cours particuliers de méditations et ensemble dans "ma" clairière consacrée, je fais un trés bon prix au Papa.
Quand il ne pleut pas ... auquel cas je sculpte grave poli la diorite. 

L'été commence à partir, les températures baissent, des gens commencent à rester tout leur temps dans leur maison ...
" fais du feu dans la cheminée, je reviens chez nous ... " (chant populaire de sous les cocotiers)
Cela doit être fin février, mars l'automne austral s'installe, ses frimats aussi, sa neige en juillet ! 

Bon eh bien c'était très sympa cette vie de 1768tard ... 
je m'y suis vraiment bien pris du plaisir à vivre maori, apprécier leur vie dure mais si proche de la nature, une sociéte bien structurée quand même, des arts graphiques (tatouage) sculpture, géobiologie radiesthésie magnétisme, médecine de plantes et d'énergies, du respect, de l'insouciance aussi ...

Je n'en sais pas plus sur ces méga vortex placés et vénérés dans le monde entier, ici aussi les hommes bàtirent des lieux de culte.
Je ressent assez bien cela, plus facile d'en faire un ressenti global à petite échelle, j'amplifie mon enveloppe pour me propulser et je me fait une image mentale d'altitude des énergies, ... comme quasi au quotidien. 


à bientôt.

Où aurais je caché des morceaux de paunamou ?
m'enfin, ce n'est pas mon genre ...
quel point exact en commun entre 1768 et 2013 pour les retrouver ?  ... éh éh ...

   récit en mediumnité éveillée
   avec la mémoire du salon.

   JC SELLIER   novembre 2013

voilà mon ressenti général du grand quartier : 
               

et un détail des 6 vortex au Council Henderson,
qui me laissera des ressentis à les implanter sur place en 2014 ! :

 j'interrogerai au Council l'origine de la pierre au centre du gros vortex Or !