1018 LA CHOSE DU DÉPOTOIR DE FAA'A-TAHITI
En pendulant sur le quartier avec une image de Google Earth,
j'arrive à ces ressentis surprenants :
les VORTEX créés il y a si longtemps, passent encore, j'en ai l'habitude,
mais que sont-ce ces incensées choses restées suffisemment en place pour en garder l'empreinte en mémoires ?
Pour les amateurs (et pros) du pendule il ne vous sera pas difficile de localiser de suite le Vortex MIRI (4500 av JC) :
Mauruuru Matarai.com !
je publierai les dessins sur image que vous m'enverrez, merci d'avance !
Hop je prend l'auto et je vais au dépotoir, infâme puanteur fumante versant son jus dans le lagon de FAA'A,
(la commune de la désolation se refusant encore de rejoindre le groupe territorial moderne de traitement des déchets)
je mitraille vers le sud, vers le ciel dessus le vortex MIRI.
Je pendule sur les images et ai alors ces ressentis que je vous retrace du mieux possible :
Je n'en tire pas de conclusion hâtive, mais ce que j'aimerais la visiter cette "chose", pas toi ?
Je ne trouve pas la chanson (prémonitoire ?) originale de Nino Ferrer sur le net, mais n'ai que ces interprétations hasardeuses:
http://www.youtube.com/watch?v=9r8S0EyZ1dc
http://www.youtube.com/watch?v=uwwlU75FDhk
LES MORCEAUX DE FER
Elle te tendra les bras
Quand tu le voudras
Quand il le faudra
Même si tu n’en veux pas
C’est elle qui gagnera
C’est Elle qui gagnera
Tous les deux on pourrait faire
Un univers imaginaire
Sur une île où tout serait
Comme on aurait voulu que ce soit
On préfère avoir la mer
Plutôt qu’avoir un réfrigérateur
Mais il n’y a plus un endroit sur terre
Sans qu’il y ait des morceaux de fer
Qui tournent autour de moi… moi…
Ils tournent au dessus des toits
Quand le ciel est bas
Quand le ciel est bas
Même quand on ne les voit pas
On sait qu’ils sont là
On sait qu’ils sont là
Sur des lignes imaginaires
Qui vont de New-York à Denver
Marrakech et Vancouver
À la portée des hommes d’affaires
Militaires et missionnaires
Ils ont tous le feu au derrière
Mais il n’y a plus d’endroit sur terre
Sans qu’il y ait des morceaux de fer
Qui tournent autour de moi…